Jura

SEPTEMBRE 2023.

Je commence par le département de la Haute-Savoie, où débute mon aventure à Sciez (département qui n’appartient pas au Jura…). Les débuts sont compliqués. En effet, je dois traverser toute la banlieue de Genève (Annemasse, Saint-Julien-en-Genevois…).

Des routes. Du bruit. De la pollution. Les gens pressés.

La ville dans toute sa splendeur. Peu de forêts, peu d’animaux. Cela fait maintenant quelques jours que mes pieds subissaient le béton. J’aurais préféré avoir du dénivelé en forêt, je vous assure, car il n’y a rien de pire que de marcher sur le bitume. Accompagnée de ce sac à dos de 15 kg, je marche sur les sentiers du GR509 (GTJ). Mais les raisons pour lesquelles je suis partie me reviennent vite car j’aperçois au loin les premières montagnes du Jura. Je suis contente. Être conscient de ce qui nous entoure, être au coeur des éléments, aller à la rencontre des gens, c’est ça que je cherche quand je pars.

Je fus étonnée par la générosité des habitants du Jura. Il m’arrivait qu’on m’offre le couvert le soir, et parfois aussi le gîte. Une bonne douche chaude à la fin de la journée n’était pas de refus, surtout que dans le Jura, il n’y a pas de cours d’eau.

À part le Doubs, qui est malheureusement très touché par l’agriculture intensive. Au compteur, j’aurai parcouru plus de 320 km dans les hauteurs jurassiennes.

Cabane du Doubs

Dans une cabane au fond des bois, je m’installe pour la nuit. Je me souviens encore d’une atmosphère très étrange ce soir là. La pluie qui tombait, les bruits de la forêt. J’avais ce soir là, une vue différente de d’habitude, la vue sur un cours d’eau.

Bivouac du soir

Premier bivouac au bout de plusieurs jours passés pas loin des villes. Ça fait du bien d’être en nature. Je profite d’un magnifique coucher de soleil, non loin des vaches, faisant retentir leurs cloches. 

Prendre de la hauteur

Ça y est, je commence à prendre de la hauteur. Pendant cette journée, je m’apprêtais à aller au point culminant du Jura : le Crêt de la Neige.

Cabane du Doubs

Dans une cabane au fond des bois, je m’installe pour la nuit. Je me souviens encore d’une atmosphère très étrange ce soir là. La pluie qui tombait, les bruits de la forêt. J’avais ce soir là, une vue différente de d’habitude, la vue sur un cours d’eau.

Bivouac du soir

Premier bivouac au bout de plusieurs jours passés pas loin des villes. Ça fait du bien d’être en nature. Je profite d’un magnifique coucher de soleil, non loin des vaches, faisant retentir leurs cloches. 

Prendre de la hauteur

Ça y est, je commence à prendre de la hauteur. Pendant cette journée, je m’apprêtais à aller au point culminant du Jura : le Crêt de la Neige.